La Rochefort 10 est une bière Trappiste créée peu avant les années 1950. C’est la bière la plus alcoolisée des bières de l’abbaye de Rochefort et c’est aussi la plus riche.
En 1920, bien avant la production des célèbres Trappiste Rochefort 6, 8 et 10 dans les années 1950, les moines de Rochefort brassaient une bière blonde extra-forte. Aujourd’hui, 100 ans plus tard, les moines sont très heureux de proposer une bière blonde forte inspirée de la recette originale : la Trappiste Rochefort Triple Extra.
Authentique bière d’Abbaye à l’instar de ses sœur, la Rochefort 8 et la Rochefort 10, la Rochefort 6 se distingue par sa rareté : elle ne représente que 10% de la production totale de l’Abbaye de Rochefort et c’est également la plus ancienne ! Brassée seulement quelques semaines dans l’année, la Rochefort 6, par sa finesse et délicatesse, est une entrée idéale dans le monde des bières trappistes.
La Rochefort 8 est une bière Trappiste produite par les moines de l’Abbaye de Rochefort près de Namur, en Belgique. Cette bière est constituée de matières premières soigneusement sélectionnés.
La bière Tripel Karmeliet est l’un des grands classiques des bières belges. Selon la brasserie, la recette utilisée serait la même depuis 1679 à savoir l’alliance parfaite de 3 grains, issue du cloître des Carmes de Termonde : l’orge, l’avoine et le blé, pour donner naissance à une triple complexe. Raffinée et équilibrée, elle dévoile de subtiles notes fruitées et une saveur d’une délicatesse surprenante. Voici la Tripel Karmeliet : 7 générations, 3 grains, 1 recette.
La bière Tripel Karmeliet est l’un des grands classiques des bières belges. Selon la brasserie, la recette utilisée serait la même depuis 1679. A l’époque, la Karmeliet était alors produite au sein de l’abbaye carmélite de Dendermonde.
Bière de fermentation haute et refermentée en bouteille, elle présentait déjà à l’époque la particularité d’être produite à partir de trois céréales : l’orge, le froment et l’avoine. C’est d’ailleurs de ces ingrédients qu’elle tire son nom. En bouche, ce sont les différentes céréales qui s’expriment d’abord associés ensuite aux touches houblonnées du Styrian. La texture, à la fois sèche et crémeuse rend la Tripel Karmeliet délicieusement équilibrée.